Franck, il s'appelle Franck parce que sa mère et sa grand-mère adoraient Frank Alamo et moi, je m'appelle Billie parce que ma mère était folle de Michael Jackson. Autant dire qu'on ne partait pas avec les mêmes marraines dans la vie.
Deux histoires de jeunes gens de notre temps, repus, mais affamés, polis, mais enragés, qui préfèrent encore prendre le risque de se tromper de vie que de n'en vivre aucune.
La petite fille qui avait avalé un nuage grand comme la Tour Eiffel
Une fable moderne narrant les aventures d'une jeune factrice pleine d'énergie en quête de maternité. Une aventure qui concilie absurde et émotion, pur divertissement et joli message de tolérance. Suivi d'un entretien avec l'auteur.
Sept nouvelles : sept personnages désemparés capables de remonter la pente en quelques heures. Chaque récit est une ode à ceux qui avouent leur faiblesse et affrontent leur vulnérabilité.
Une ode à l'espérance pour une génération frappée de plein fouet par le déclassement et la crise économique. Un hymne à la jeunesse, sans clichés, sans misérabilisme ni dolorisme.
Les quatre personnages de ce roman nous donnent la plus belle leçon de tolérance, d'amour, de respect de l'autre. On rit, on s'émeut et on pleure même.
Bertrand, unique héritier de la première fortune de France, consacre tout son temps à la randonnée. Il est assisté de Martial, ex-taulard, qui s'occupe avec soin de la logistique. Tout irait pour le mieux dans le meilleur des mondes, mais nous ne sommes pas dans le meilleur des mondes.
En rentrant de vacances, Claire apprend que son frère a quitté la maison. Personne ne sait pourquoi. Depuis, elle reçoit des cartes postales de lui, envoyées de villes toujours différentes. Elles sont rares mais il y exprime toujours la même chose : il aime sa soeur, il va bien mais il ne rentrera pas. Il ne dit pas pourquoi il est parti. Lorsque Claire a une semaine de congé, elle décide de partir à la recherche de son frère à Portbail, la ville d'où provient sa dernière carte.