Comment l'irréductible et solitaire Mathilde, la vieille qui ne voulait pas quitter son trou perdu d'Auvergne, découvre au Doux Repos la cohabitation avec d'autres vieillards jamais avares de mesquinerie et d'excentricité.
Centré sur le drame vécu par les Arméniens de l'Empire ottoman entre la fin du XIXe siècle et les lendemains de la Première Guerre mondiale, ce récit mêle l'Histoire, les dits de la mémoire familiale, les images et les vestiges qu'en draînent leurs héritiers.
Avec pour seule expérience ses vingt ans et son talent de photographe, Mathilde est envoyée chez une sommité du monde politique, récemment couronnée du prix Nobel de la paix. Quand l'homme s'approche d'elle avec l'intention de la violer, Mathilde est tétanisée, incapable de réagir. Des années plus tard, une nouvelle épreuve la renvoie à cet épisode de son passé.
Ils sont cinq pick-up qui se suivent depuis deux jours dans le désert. Tous les conducteurs s'efforcent d'emprunter exactement les deux rails que laisse dans le sable le premier Dodge. Il ne faut pas que les Allemands puissent éventuellement les dénombrer...
Un jeune homme se retrouve momentanément avec une petite fille de huit ans, une étudiante et une vieille paysanne tandis que sa femme, en voyage, lui téléphone.
"Le parapluie" : Cro-Magnon l'eût-il connu, nul doute qu'il l'aurait oublié dans la caverne d'un voisin. "Le chapeau" : sans lui, qui sait si Napoléon ne serait pas resté simple lieutenant d'artillerie ? "Les paires" : des tas de choses vont par paire, ce par quoi elles sont spécialement exposées à être dépareillées.
Louise écrit des pièces de théâtre et partage sa vie avec Stephen qui est avocat. Leur histoire dure cinq ans. Louise rencontre un autre homme et Stephen se marie. Cinq ans plus tard, ils se rencontrent dans un bar.
Laurence s'est choisi comme époux un jeune musicien qui a du talent mais pas de génie. Elle le nourrit, l'habille, lui compte son argent de poche, bref elle le tient en laisse. Mais un jour, sort de ses arpèges un "tube"...