Denis ne sait pas qui est son père, et il sait encore moins que son père est kabyle. Ce roman, en grande partie autobiographique, nous entraîne sur ses pas, de la pluvieuse Normandie au soleil de Taghzout. Une quête spirituelle, vitale pour découvrir qui il est vraiment.
En ce début de treizième millénaire, Hari Seldon invente la psychohistoire, une science nouvelle permettant de prédire l'avenir. Grâce à elle, Seldon prévoit l'effondrement de l'Empire où il vit d'ici cinq siècles, suivi d'une ère de ténèbres de trente mille ans. Réduire cette période à mille ans est peut-être possible, à condition de mener à terme son projet : la Fondation, chargée de rassembler toutes les connaissances humaines. Une entreprise visionnaire qui rencontre de nombreux et puissants détracteurs.
Tandis que les crises qui secouent l'Empire redoublent de violence et annoncent son effondrement définitif, la Fondation créée par le psychohistorien Hari Seldon pour sauvegarder la civilisation devient de plus en plus puissante, suscitant naturellement convoitises et visées annexionnistes.
Petit malfrat sans envergure, Rafael Juntunen se retrouve à la tête d'une véritable fortune en lingots d'or à la suite d'un hold-up dont il sort indemne mais pas ses deux camarades de crime.
Le monde est au bord de l'apocalypse, croulant sous les détritus, étouffant sous une dictature aveugle qui invente de nouveaux pogroms pour lutter contre l'explosion démographique. Des héros idéalisés porteurs des derniers espoirs des opprimés entreprennent de restaurer les valeurs les plus nobles de la civilisation en purifiant la planète de ses ordures humaines et industrielles.
D'abord, il y a eu l'hôtel Beau-Rivage, à Bain-les-Mers, et les nouveaux copains : Blaise, Fructueux, Mamert, Irénée, Fabrice et Côme. Puis un essai manqué de germination de haricot avant de repartir avec la colonie du Camp Bleu où l'on s'amuse drôlement.