Plein d'un humour toujours aux multiples sens, oscillant entre poésie, anecdote et pamphlet politique, Fallet nous entraîne au travers de croquis en proses dans les entrailles du pêcheur. Un petit livre écrit par un amoureux de la pêche et de la bonne humeur.
Lorenzo devient fidèle serviteur de son cousin le duc Alexandre de Médicis, devient son familier ainsi que son compagnon de débauche, afin de pouvoir libérer Florence de ce tyran et y instaurer un jour une république. Mais quand on joue double-jeu...
Pauline Delabroy-Allard va photographier, jour après jour, les failles et les fissures de cette "Maison-tanière". De l'imperfection peut naître une fragile beauté. La poétesse la chante dans ses mots.
"Je vous offre un dernier voyage poétique : un bouquet de poèmes." Une sélection de poèmes de : Apollinaire, Musset, Baudelaire, Hugo, Rimbaud, Gainsbourg, Lautréamont, Ronsard, Aragon...
Ce livre n'est pas un témoignage sur la Shoah, mais une méditation sur la vie. A seize ans, l'autrice a été déportée à Auschwitz-Birkenau en 1944 avec sa famille, qui y a péri. Arrachées à cette expérience de la mort, ces pages sont nées d'une longue traversée tissée de renaissances.
Des mots, spontanés, pas filtrés par des pratiques d'écriture ou une position acquise. Des tentatives qui sont une poésie possible. Collective, débutante, parfois maladroite mais toujours engagée dans notre 21e siècle.
Cette anthologie souhaite élargir le débat à la tolérance, au combat pour la paix, à la fraternité universelle. Jean-Pol Baras et Denis Lefebvre ont réuni une série de textes de personnalités du monde entier, de tous les temps et de tous les horizons, mettant en valeur les sentiments humains et les actes humanistes au service de la paix et de la coexistence entre les peuples.
Dans ce court récit, Ken Follett raconte l'émotion qui l'a étreint lorsqu'il a appris le drame qui menaçait Notre-Dame de Paris, puis revient sur l'histoire de la cathédrale, de sa construction au rôle qu'elle a joué dans le destin de la nation française.
Sous l'ombre de Ryokan, moine japonais du XIXe siècle, l'auteur compose une célébration du simple et du quotidien sous forme de correspondance. La lettre est ici le lieu de l'intime, l'écrin des choses vues et aimées. Elle célèbre le miracle d'exister et elle nous invite au recueillement et à la méditation.