Vibrant hommage d'un homme à son père, disparu trop vite mais volontairement puisqu'il a mis fin à ses jours, le 11 mars 2008, sur un parking de La Rochelle. Ce père adoptif lui a tout donné, à commencer par un nom. L'auteur lui donne une sorte de vie éternelle à travers ce morceau de littérature.
Carnet de bal d'une courtisane, suivi de Petite chronique des courtisanes : & autres textes
L'autrice, prostituée, livre un carnet où elle notait le prénom de ses clients et des descriptions de leurs pratiques sexuelles, suivi d'un choix de textes sur son engagement dans les mouvements de prostitution vers 1970.
Refusant l'ignorance voulue par les talibans, Malala n'a que 11 ans quand elle décide de se battre pour pouvoir continuer à aller à l'école. Grièvement blessée à 15 ans par un taliban, elle reçoit le prix Nobel de la Paix à 18.
Pendant deux années, cachée avec sa famille et une famille amie dans un petit appartement d'Amsterdam, cette jeune fille a tenu quotidiennement son journal. Dès 12 ans.
Jean-Louis Fournier souhaitait mourir le premier, il a perdu. Sa femme partie, il n'a plus personne avec qui parler de lui. Alors, pour se consoler, ou pour se venger, en nous parlant d'elle, il nous parle de lui.
Roman autobiographique dans lequel l'auteur raconte ses souvenirs d'enfance, de son arrivée pendant la guerre jusqu'au moment où l'innocence se dissipe pour faire place à la réalité, des premiers cinémas à son dégoût des culottes courtes.
L'auteur parle de ses deux garçons handicapés. Pourquoi ? Parce que le temps presse et qu'il faut dire autrement la question du handicap, sans l'air contrit ou la condescendance, mais avec de l'humour, fût-il noir. Prix Femina 2008.
"Pour la plupart des familles françaises, passées en trois générations de la paysannerie à l'université, le XXe siècle a été un formidable ascenseur social. L'histoire de ma famille maternelle est symbolique de cette évolution, et c'est pourquoi j'ai eu envie de la raconter". Ch. Signol.
La jeune comtesse hongroise Irma Sztaray reçut pour mission en 1894 d'accompagner Elisabeth d'Autriche dans ses cures et ses voyages méditerranéens. Elle s'en acquitta jusqu'au 10 septembre 1898, jour où l'impératrice fut poignardée à Genève par l'anarchiste Luigi Lucheni.