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L'auteur exprime sa foi en Dieu, crédité d'être le créateur suprême, l'absolu, indicible mais omniprésent.

Un soir de l'hiver 1803-1804, aux Tuileries, une conversation imaginaire entre Bonaparte et son deuxième consul, Cambacérès. Jean d'Ormeson saisit l'ambition au moment où elle se change en histoire.

Ce manuel de poche qui n'a pas d'autre ambition que de décrire avec audace, avec naïveté, avec gaieté ce monde peu vraisemblable où nous avons été jetés malgré nous et de fournir quelques brèves indications sur les moyens d'en tirer à la fois un peu de plaisir et, s'il se peut, de hauteur.

Les aventures rocambolesques d'un garçon de 16 ans dont le grand-père, de vieille noblesse, devient, au hasard des circonstances, chef d'une bande de loubards qui s'érigent en justiciers des faibles, en redresseurs des injustices sociales.

Tout commence dans un cimetière de banlieue où ses amis enterrent Romain. Comme dans tous les enterrements, le narrateur voit défiler des personnages qui lui rappellent le passé...

La vie du narrateur, ressemblant parfois à celle de l'auteur, n'a jamais cessé d'être une fête de l'esprit et du plaisir. Le temps d'un voyage à travers ses souvenirs, il se fait professeur de beauté, d'intelligence et de bonheur.

Destins croisés de deux familles, l'une argentine, l'autre anglaise, à travers les vicissitudes du milieu du vingtième siècle.

Vaste fresque historico-familiale où les multiples personnages finissent par se rencontrer, bien qu'arrivant de différents horizons.

Destins croisés de quatre frères et de quatre soeurs pendant l'entre-deux-guerres.

À Venise, au pied de la Douane de mer, en face du palais des Doges et de San Giorgio Maggiore avec son haut campanile, deux jeunes gens qui s'aiment vont écouter, le soir, un personnage surprenant qui porte beaucoup de noms. Ses récits les emportent, à travers l'espace et le temps, dans un tourbillon d'aventures...