Sur fond de monarchie austro-hongroise agonisante et à travers la confrontation de deux hommes autrefois amis, l'auteur évoque l'inéluctable avancée du temps.
Les choses, c'est d'abord les objets, ceux qui entourent Jérôme et Sylvie. Ensuite, c'est une vague préoccupation de la vie. Enfin, les choses laissent voir le vide autour d'elles...
Un narrateur, vieux et presque aveugle, se souvient de sa rencontre, alors qu'il était jeune, avec un peintre étrange, prisonnier d'une longue fascination pour les paons.