Ce livre raconte les premières années de la communauté Emmaüs de Neuilly-Plaisance, fondée par l'abbé Pierre en 1949, point de départ du mouvement Emmaüs.
La confession que livre Gustave Morgan sur son lit de mort n'est que le prélude à une succession de retournements de situations qui l'enserrent, ainsi que ceux qui lui furent proches, dans une logique implacable et terrifiante.
Le narrateur rapporte ses angoisses et ses troubles dans une sorte de journal : il sent autour de lui la présence d'un être invisible qu'il nomme le «Horla». Lucide au début, il sombre peu à peu dans la folie en cherchant à se délivrer de cette emprise.