Les choses, c'est d'abord les objets, ceux qui entourent Jérôme et Sylvie. Ensuite, c'est une vague préoccupation de la vie. Enfin, les choses laissent voir le vide autour d'elles...
La confession que livre Gustave Morgan sur son lit de mort n'est que le prélude à une succession de retournements de situations qui l'enserrent, ainsi que ceux qui lui furent proches, dans une logique implacable et terrifiante.
Le narrateur rapporte ses angoisses et ses troubles dans une sorte de journal : il sent autour de lui la présence d'un être invisible qu'il nomme le «Horla». Lucide au début, il sombre peu à peu dans la folie en cherchant à se délivrer de cette emprise.
A la suite d'une rencontre avec une bohémienne, Jonathan va se retrouver embarqué dans une aventure de découverte de soi ponctuée d'expériences qui vont changer radicalement sa vision de sa vie, de la vie.