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Il s'appelait Darius Conn. Il avait du talent, des idées, de la ressource. C'était un amateur doué. Il tuait à l'économie, parce que c'était nécessaire, sans plaisir, mais non sans orgueil. Il se disait que ses crimes passeraient à la postérité. Des crimes parfaits. Il se gobait.Il se gobait un peu trop. Parce que, en fin de compte, ce n'était qu'un amateur et ça ne pouvait pas durer.
Avril 1972 : un accident fait basculer dans le vide l'existence de Patrick Segal. Il a vingt-quatre ans. Privé de l'usage de ses jambes, il devient l'homme qui marchait dans sa tête, ce qui ne l'empêche pas, on s'en souvient, de parcourir le monde dans son fauteuil roulant.
Dans l'immédiat après-guerre, Viou vit en province pendant quelques mois chez ses grands-parents, avant de rejoindre sa maman à Paris. Un livre tendre et émouvant.
C'est le récit, largement autobiographique, du combat impitoyable entre des fils et leur mère. L'auteur relate la lutte sans pitié où la haine remplace la tendresse. La conséquence désolante d'une éducation sans amour.
" Le propos de ce livre est de faire connaître à mes contemporains en quête de libération un chemin de paix, un chemin de joie : la pensée de Blaise Pascal. "
Une maison à restaurer et voilà une galerie de portraits et le tableau souvent très drôle d'un chantier qui se transforme petit à petit en parcours du combattant.
L'auteur avait ses bureaux au 47e étage de la tour n°1 du WTC. Le 11 septembre 2001, sa vie bascule dans l'horreur...
Marianne et Simon : deux êtres qui essaient d'inventer une passion inusable mais dont les sentiments, comme les continents, dérivent...
Après une correspondance de 1949 à 1969 avec le personnel de la librairie ancienne Marks and Co de Londres (correspondance parue sous le titre "84, Charing Cross Road"), H. Hanff arrive à Londres en 1971. Accueillie par la fille de son ami libraire Frank Dol décédé. Elle raconte à travers des anecdotes la vie londonienne, les personnages rencontrés et son amour pour la littérature anglaise.
Les jeux de l'amour mis en scène avec le grand sens de l'observation, le réalisme et le génie propres à l'auteur.
Hoffmann, ayant prêté serment à la belle Antonia, quitte l'Allemagne pour se rendre à Paris, théâtre de tous les plaisirs. Il découvre une capitale dévastée par les abominations de la Terreur.