Le mala, le chapelet tibétain, compte 108 perles, que l'on égrène en récitant les mantras, ces paroles qui pénètrent peu à peu l'esprit et le coeur pour les pacifier. 108 courts textes, qui ne prétendent pas se substituer aux mantras traditionnels mais reformuler pour le plus grand nombre les grands principes de l'enseignement du Dalaï-Lama.
Comment progresser vers la liberté intérieure, celle qui nous permet d'aborder sereinement les hauts et les bas de l'existence et de nous affranchir des causes de la souffrance ? Ce livre, écrit par un psychiatre, un philosophe et un moine, invite à un itinéraire joyeux pour nous extraire de nos prisons et nous rapprocher des autres.
Ari, quinze ans, est un adolescent en colère, silencieux, dont le frère est en prison. Dante, lui, est un garçon expansif, drôle, sûr de lui. Ils n'ont a priori rien en commun. Ils vont partir en quête de leur identité et découvrir les secrets de l'univers. A partir de 15 ans.
Cet écrit de Sénèque est une lettre écrite à son ami Paulinus, dans laquelle il développe ses réflexions sur ce qui, aux yeux de beaucoup, est vécu comme une sorte d'injustice ou de déception : que la vie soit trop courte.
Adressés au frère de Sénèque, Novatus, les trois livres que compte cet ouvrage cernent la nature de la colère et proposent un certain nombre de moyens à employer afin de la maîtriser.
Le philosophe prône une nourriture et un mode de vie équilibrés tout en invitant à dompter désirs et passions au nom de l'harmonie, de la mesure et de la maîtrise de soi.
La tranquillité n'est pas un terme technique. Elle est un problème de vie spirituelle et mystique. Cette question est d'autant plus pertinente qu'elle s'adresse à l'individu ou au sujet qui ne compte plus que sur lui-même et sait qu'il ne peut pas se fier à une nature, à l'histoire ou à la vérité. Ce texte est précédé d'un essai de Paul Veyne.
Ecce homo est une autobiographie à la fois parodique et philosophique de Friedrich Nietzsche. C'est l'un des livres les plus importants pour comprendre la pensée nietzschéenne dans son originalité. Nietzsche invente ici un nouveau type d'écriture, tonitruant et virtuose, qui lui permet de réaliser son programme de « philosophie à coups de marteau ».
Emile Ajar est le nom que Romain Gary utilisait pour démontrer qu'on n'est pas que ce que l'on dit qu'on est, qu'il existe toujours une possibilité de se réinventer par la force de la fiction. En découle un monologue qui s'en prend à toutes les obsessions identitaires du moment.
Épurer son intérieur, vider ses armoires, abandonner ses achats compulsifs, apprendre à manger plus frugal, prendre soin de son corps et de son esprit. Toutes ces pratiques font partie du programme pour tendre vers davantage d'harmonie avec soi et les autres, comme le préconisent les philosophies orientales.
Dans l'Allemagne du Moyen-Age, le Docteur Faust, vieux savant fatigué de la vie, songe à en finir une bonne fois pour toutes lorsque Méphistophélès, le Diable, lui apparaît en chair et en os : rusé, il fait signer à Faust un pacte qui lui garantit une nouvelle jeunesse en échange de son âme.
Deux personnages déambulent en philosophant. On ne sait qui ils sont. On ne sait d'où ils viennent. On ne sait où ils vont. Tout ce que l'on sait, c'est que l'un est le maître de l'autre. Bientôt on se demandera lequel...