Les vacances à La Treille se poursuivent, mais ne se ressemblent plus : Lili doit travailler aux champs avec son père, et Marcel rencontre Isabelle, la fille du poète Loïs de Montmajour. Puis ce sera l’arrivée en classe de sixième, et l’entrée en scène de l’inénarrable Lagneau…
Souvenirs d'enfance réunis en une série de nouvelles à la verve souriante. Un parfum d'enfance, d'amitié et de garrigue sur de timides amours adolescents.
Après la mort de Louis XIV, Philippe d'Orléans devient régent. Son ami, le duc de Saint-Simon, continue ses mémoires et offre une description précise de l'époque et de ses personnages.
Ma mémoire est une foule noire couronnée de drapeaux rouges, et elle s'appelle Madeleine. Madeleine, c'est ma grand-mère. Madeleine, c'est moi. C'est elle qui, la première, m'a raconté notre histoire. Dans sa voix, j'écoutais d'autres voix, venues du fond des siècles.
Ce livre n'est pas un témoignage sur la Shoah, mais une méditation sur la vie. A seize ans, l'autrice a été déportée à Auschwitz-Birkenau en 1944 avec sa famille, qui y a péri. Arrachées à cette expérience de la mort, ces pages sont nées d'une longue traversée tissée de renaissances.
A 23 ans, Ramsès triomphe enfin et accède au trône. Le jeune roi au corps d'athlète et à la chevelure blonde détient désormais le testament des dieux légué par son père Séthi. Mais son couronnement n'a pas désarmé ses ennemis.
Brisant le pacte de non-agression passé avec le roi Séthi, leurs guerriers barbares ont mis à sac les forteresses du Chemin d'Horus. Ramsès, qui a respecté jusqu'ici la politique pacifique de son père, doit se résoudre à la guerre.
Ramsès, qui a dû négocier une paix stratégique avec la puissance hittite, peut désormais accomplir son grand rêve architectural, en hommage à Néfertari, "celle pour qui le soleil se lève". Les splendeurs des deux temples d'Abou Simbel seront le symbole de cet amour éternel.
A cinquante ans, après tant de guerres, d'amours et de grandioses réalisations, Ramsès pourrait aspirer à la sérénité des vieux jours. Mais il faut encore gouverner et combattre pour préserver une paix durement acquise.
Enfant, le grand-père de l'auteur, fils d'une domestique, avait reçu une gifle comme toute réponse à cette question. C. Signol continue ici son hommage à ses anciens, ceux qui lui ont permis d'être ce qu'il est aujourd'hui, grâce à leur force, leurs luttes et leur courage. En nous racontant leur vie, toujours avec réalisme et sensibilité, il nous dit son amour de la terre, de la nature et des hommes.