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Libérée de ses complexes, des fers d'une mère aux exigences folles, elle est devenue la plus grande cantatrice du vingtième siècle.
Le 26 octobre 1967 le monde entier suit le couronnement du shah d'Iran et de l'impératrice. Farah entre dans la légende. Douze ans plus tard, le rêve se brise, emporté par la révolution. L'impératrice connaît alors l'exil et la traque de ceux qui menacent sa vie et celle de sa famille.
Bertrand Meyer-Stabley perce le mystère de Soraya, impératrice d'Iran entre 1951 et 1958, femme très secrète, qui, propulsée très jeune au sommet de la notoriété, ne parvint jamais à oublier son premier amour.
Roman autobiographique. L'auteur règle ses problèmes avec son père dans cet éloge biographique à sa vie et à l'homme qu'il a été. Comme dans "La gloire de mon père", on retrouve ici la dignité des gens simples des campagnes du XXe siècle à travers les yeux d'un fils blessé qui a grandi et qui peut en parler avec sa mère.
L'auteur donne vie à l'un de ces espiègles garnements de la banlieue parisienne des années 50-60, ainsi qu'à ses parents et ses douze frères et soeurs.
Adolphe Pâques, le coiffeur de Chateaubriand, homme de l'ombre au fantastique potentiel romanesque, ranime les dernières années du règne sans partage de l'auteur d'Atala, où l'attente des Mémoires d'Outre-tombe enfièvre le tout Paris.
Depuis qu'il a quitté le pouvoir, il reste à Charles de Gaulle une mission : la rédaction de ses mémoires, qu'il redoute de ne pouvoir terminer. Le voici seul face à l'histoire, et seul face à sa mort prochaine.
Débuts dans le journalisme d'un étudiant sursitaire, à la veille des années soixante.
Ce roman est un récit à la première personne relatant les souvenirs d'enfance, d'adolescence et de jeunesse de Patrick Modiano.
La vie du narrateur, ressemblant parfois à celle de l'auteur, n'a jamais cessé d'être une fête de l'esprit et du plaisir. Le temps d'un voyage à travers ses souvenirs, il se fait professeur de beauté, d'intelligence et de bonheur.
Avril 1972 : un accident fait basculer dans le vide l'existence de Patrick Segal. Il a vingt-quatre ans. Privé de l'usage de ses jambes, il devient l'homme qui marchait dans sa tête, ce qui ne l'empêche pas, on s'en souvient, de parcourir le monde dans son fauteuil roulant.
C'est le récit, largement autobiographique, du combat impitoyable entre des fils et leur mère. L'auteur relate la lutte sans pitié où la haine remplace la tendresse. La conséquence désolante d'une éducation sans amour.