Chroniques d'une enfance rythmée entre la Sardaigne, lumineuse, et le quotidien gris du nord de la France. On suit l'enfant qui découvre le monde, puis l'enfant dans son enveloppe d'homme qui tente d'y trouver sa place.
Aussi célèbre soit-il, James Dean, symbole de la jeunesse éternelle, demeure toujours aussi insaisissable. Vivre vite, roman choral tout en nuances, dresse, à travers la voix de ses proches, le portrait intime d'un acteur incandescent, une icône intemporelle.
Pierre, érudit, issu d'une famille bourgeoise, fascine Rachel, employée à la Sécurité sociale. Il refuse de l'épouser mais ils font un enfant, Christine. Le père voit épisodiquement sa fille. Des années plus tard, Rachel apprend qu'il la viole. Le choc est immense. Un sentiment de culpabiblité s'immisce entre la mère et la fille.
Parti pour se changer les idées au soleil de l'Italie, l'auteur fait la rencontre d'un lieu unique et son voyage devient dès lors un moment décisif de sa vie.
Roman autobiographique dans lequel l'auteur raconte ses souvenirs d'enfance, de son arrivée pendant la guerre jusqu'au moment où l'innocence se dissipe pour faire place à la réalité, des premiers cinémas à son dégoût des culottes courtes.
L'auteur parle de ses deux garçons handicapés. Pourquoi ? Parce que le temps presse et qu'il faut dire autrement la question du handicap, sans l'air contrit ou la condescendance, mais avec de l'humour, fût-il noir. Prix Femina 2008.
En 1963, l'autrice achète une maison à Neauphle-le-Château. Elle désire y fonder l'abri familial qu'elle n'a jamais connu, le lieu de rencontre avec ses amis. Elle raconte l'épopée de cette maison.