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"C'est ainsi que les choses ont commencé. Je me suis vraiment dit : tu descends dans la rue, tu abordes la permière personne que tu vois, et elle sera le sujet de ton livre".
"Le jour où j'ai appris que j'étais une victime, je me suis senti vivant". On a souvent dit de ses romans qu'ils faisaient du bien. Lui-même a toujours su qu'il écrivait « parce que cela répare ». Que réparait Grégoire Delacourt ? Qui était son père, de plus en plus absent ? Sa mère, qui l'éloignait chaque jour davantage ?
"Le petit chat est mort. Les mots sont une détonation. Les choisir pour l'annoncer aux enfants n'a pas été chose facile, alors je me suis résigné à faire simple, cinq mots et un point final. Court, cruel, monstrueux."
Trois destins liés : Ramla, arrachée à son amour pour être mariée à l'époux de Safira, tandis que Hindou, sa soeur, est contrainte d'épouser son cousin. Patience ! C'est l'unique conseil qui leur est donné. Mariage forcé, viol conjugal, consensus et polygamie : ce roman dénonce la condition féminine au Sahel.
L'auteur fait le bilan de son long combat contre le cancer.
Pendant deux années, cachée avec sa famille et une famille amie dans un petit appartement d'Amsterdam, cette jeune fille a tenu quotidiennement son journal. Dès 12 ans.
Parti pour se changer les idées au soleil de l'Italie, l'auteur fait la rencontre d'un lieu unique et son voyage devient dès lors un moment décisif de sa vie.
Mise au placard ou vacances éternelles, nul n'échappera à la retraite. Elle peut être le meilleur ou le pire. L'auteur, lui, a choisi.
L'auteur parle de ses deux garçons handicapés. Pourquoi ? Parce que le temps presse et qu'il faut dire autrement la question du handicap, sans l'air contrit ou la condescendance, mais avec de l'humour, fût-il noir. Prix Femina 2008.
En Iran, de la cellule où elle attend d'être pendue, Fatemeh confie au cahier donné par un gardien compatissant, le récit de sa courte vie.
Jean-Louis Fournier souhaitait mourir le premier, il a perdu. Sa femme partie, il n'a plus personne avec qui parler de lui. Alors, pour se consoler, ou pour se venger, en nous parlant d'elle, il nous parle de lui.
Une lettre arrivée d'Union Soviétique propose à Prokofiev de rentrer dans sa terre natale pour devenir le compositeur du peuple. C'est donc avec femme et enfants que le compositeur rentre en Russie. Il vient de se jeter dans la gueule du loup...