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À la suite des poètes chinois mais aussi d'Omar Khayyâm et d'Emily Dickinson,k l'auteur pratique l'art subtil de l'épure et de la sérénité par le quatrain. Il met en rime ses rêves et ses espoirs.
L'histoire poétique d'une jeune femme vivant sur une île grecque qui passe ses nuits à nager avec les dauphins. Suivi de "Le ciel dans une étable" et "Une chose très stupide".
Un dictionnaire, même s'il est inattendu, est toujours un livre dont le mot est le héros ; or il se trouve que ma dépendance aux bizarreries du langage est aussi puissante que l'héroïne puisque je me sens drogué à l'homophonie, à la paronymie et autres figures de style...
Quelques portraits au vitriol : homme ou femme, divorcés, enfin seuls, enfin libres ! Mais libres de quoi, déjà ? Car la vie est cruelle : une fois seul(e), pourquoi faut-il que ce qui nous agaçait le plus nous manque soudain ?
Rêveur déchu du 21e siècle, Alexandrin a perdu ses papillons. Vous savez, ceux qui virevoltent au creux de nos ventres endormis lorsqu'on tombe amoureux. Ceux dont le doux bruissement nous émerveille. Au détour d'un hasard, la jeune Marie croisera sa route et l'aidera à renaître.
Ce livre est un récit d'un genre neuf, celui du style de vie d'un marin considérable doublé d'un poète. "Quand je regarde la mer, je me promène dans le temps du monde."
Accroché à une plaque commémorative d'un boulevard parisien, un message intrigue les passants. Un échange épistolaire s'instaure alors entre Emma, une jeune femme du quartier et Louis, l'auteur du message.
Amaya a douze ans quand elle voit sa mère mourir de chagrin, après le départ brutal de son père avec une Arlésienne. Elle atterrit dans un orphelinat, y découvre une ribambelle de mômes brisés et d'adultes bancals qu'elle tente de réanimer à coups d'histoires saugrenues et de mensonges poétiques. A partir de 13 ans.
Sylvain Tesson s'attaque au mythe Rimbaud en le sortant de la kermesse biographique et en le dépoussiérant de ses vieux habits de jeune monstre de la poésie. À ses côté, Tesson marche et traverse les paysages réels ou imaginaires suivant le cap tracé par René Char : « Rimbaud poète, cela suffit et cela est infini ».
Ce matin, le petit chat n'a envie de rien. Sa curiosité s'éveille lorsqu'il se décide à regarder autour de lui et qu'il aperçoit une petite bête sur un brin d'herbe.
Paris est inondé. Il pleut aussi dans le coeur de Gaspard. Jusqu'à ce qu'il entende un chant sublime, se penche au-dessus des quais et découvre une sirène blessée.