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Vingt ans après la défaite des troupes françaises à Diên Biên Phù, en mai 1954, Alexandre, un ancien soldat, revient au Viêtnam sur les traces de Maï Lan, la femme qu'il a follement aimée.
Le Vieux Monde, bouleversé par la révolution industrielle, et l'Union européenne, utopie née sur les cendres de deux grandes guerres, sont au centre de cette épopée sociopolitique et humaniste en vers libres relatant un siècle et demi de constructions, d'affrontements, d'espoirs, de défaites et d'enthousiasmes.
Nathan Weiss vient d'avoir quarante ans lorsqu'il reçoit un appel d'une inconnue : sa mère Marthe souhaite le revoir en urgence. Cette mère qu'il s'efforce de l'oublier. Il obéit et revient à Paris. Sa mère a changé : elle est atteinte d'Alzheimer et ne le reconnaît presque plus.
Dans ce roman écrit sous la forme d'un long poème en vers libres, un vieil homme à bord d'une barque rame, seul, sur une étendue d'eau qui a englouti sa maison et plonge dans ses souvenirs.
Le chagrin d'amour, l'émoi devant la fuite du temps, mais aussi la poésie de la vie quotidienne, de la machine et de la ville cosmopolite. Tel est Alcools, recueil qui rassemble des poèmes écrits par Apollinaire de 1898 à 1913.
Antiracistes, féministes, politiques, les mots de Lisette Lombé font battre le pavé et le cour. Le poing levé, à coups de mots et de collages, elle dénonce les injustices et poursuit le combat de ses aînées, d'Angela Davis à Toni Morrison.
Au travers des écrits d'auteurs connus ou d'amateurs, le thématique mise en avant est la liberté, la légèreté et l'ouverture. Des mots libres qui disent la vie reconquise.
Le héros a quitté Haïti il y a 30 ans pour Montréal. Un soir, un coup de fil lui apprend le décès de son père à New York. Il retourne à Port-au-Prince mais se sent déraciné, ici comme là-bas.
Il y avait en Arabie un roi du nom de Rostevan. C'était un habile guerrier, un homme généreux, juste et bon. Il n'avait qu'une enfant, une fille, une princesse très belle. Elle s'appelait Thinadine.
Une balade urbaine et onirique dans le Paris des années 1920. Un jeune homme de 29 ans déambule dans les rues de Paris. Un Paris qu'il connait par coeur mais qu'il découvre avec des yeux nouveaux, celui du poète surréaliste.
Le père de Pablo est enlevé par des soldats de la junte pour avoir édité de la poésie subversive. Pablo s'introduit dans le centre de détention où les prisonniers sont torturés. Au fil des jours, il murmurera à son père, à travers le quatrième soupirail, les vers de la survie. Dès 13 ans.