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L'autrice, prostituée, livre un carnet où elle notait le prénom de ses clients et des descriptions de leurs pratiques sexuelles, suivi d'un choix de textes sur son engagement dans les mouvements de prostitution vers 1970.

Manifeste pour la liberté individuelle, cette lettre de Jana Cerná à son amant exprime le désir féminin, son refus de se soumettre à la primauté masculine et son souhait d'une sexualité non séparée des sentiments et de l'intellect.

Quand Tatiana rencontre Eugène, elle a 14 ans, il en a 17. Il est sûr de lui, charmant, et plein d'ennui, et elle timide, idéaliste et romantique. Inévitablement, elle tombe amoureuse de lui, et lui, semblerait-il... aussi. Alors elle écrit une lettre, il la rejette, pour de mauvaises raisons peut-être. Une histoire d'amour inspirée des deux Eugène Onéguine de Pouchkine et Tchaïkovski, et écrite en vers libres.

À 15 ans, j'ai rencontré mon pire ennemi. Sauf que Tristan Quinn était aussi le fils de la nouvelle femme de mon père. À 18 ans, le roi des emmerdeurs revient du pensionnat. Il a les yeux les plus perçants qui soient et un sourire insupportable que j'ai envie d'effacer. Ou d'embrasser.

Vingt ans après la défaite des troupes françaises à Diên Biên Phù, en mai 1954, Alexandre, un ancien soldat, revient au Viêtnam sur les traces de Maï Lan, la femme qu'il a follement aimée.

Voici une biographie savoureuse et malicieuse, écrite par l'une de nos plumes les plus érudites, qui regorge d'anecdotes croustillantes et nous fait découvrir des contes, moins connus que les fables, mais aussi merveilleux qu'irrévérencieux.

Le Vieux Monde, bouleversé par la révolution industrielle, et l'Union européenne, utopie née sur les cendres de deux grandes guerres, sont au centre de cette épopée sociopolitique et humaniste en vers libres relatant un siècle et demi de constructions, d'affrontements, d'espoirs, de défaites et d'enthousiasmes.

Australie, 1954. Frank, 14 ans, et Elsa, pas encore 13 ans, malades, se rencontrent en maison de convalescence. Les adultes autour d'eux, émus par leur histoire d'amour, veulent les aider. Mais il y a une limite à ne pas franchir, atteinte quand on les retouve partageant un lit. Scandale assuré, on les sépare.

Nathan Weiss vient d'avoir quarante ans lorsqu'il reçoit un appel d'une inconnue : sa mère Marthe souhaite le revoir en urgence. Cette mère qu'il s'efforce de l'oublier. Il obéit et revient à Paris. Sa mère a changé : elle est atteinte d'Alzheimer et ne le reconnaît presque plus.

Écrire sur les putes, qui sont payées pour être des femmes, qui sont vraiment des femmes, qui ne sont que ça; écrire sur la nudité absolue de cette condition, c'est comme examiner son sexe sous un microscope. Témoignage de l'auteure après deux ans en maison close.

Dans ce roman écrit sous la forme d'un long poème en vers libres, un vieil homme à bord d'une barque rame, seul, sur une étendue d'eau qui a englouti sa maison et plonge dans ses souvenirs.

Il est un air pour qui je donnerai... Pour retrouver ou découvrir ceux qui ont joué avec les mots, les ont fait chanter. Pour chuchoter à voix basse ou déclamer sur les chemins de campagne. Pour lire chaque soir cette anthologie jubilatoire.